Rossi ne veut pas se rendre à Motegi
Dim 15 Mai - 11:24
Valentino Rossi ne verrait pas d'un bon oeil le maintien du Grand Prix du Japon dans le calendrier de la saison. Effrayé par la situation nucléaire qui touche l'archipel nippon depuis le mois de mars, l'Italien de Ducati souhaiterait que le paddock soit sondé avant qu'une décision ne soit prise.
"Si tout le monde est d’accord, nous devrons nous y rendre. Pour ma part, j’ai peur d’y aller et la situation nucléaire me rend nerveux. Nous devons mieux comprendre la situation avant de nous prononcer". En marge du Grand Prix de France, qui a lieu ce dimanche, Valentino Rossi a du mal à cacher ses angoisses actuelles : s'il avait le choix, le pilote italien, éviterait de se rendre à Motegi, situé à 120 km au nord de Tokyo, cette saison.
Prévu initialement le 24 avril dernier, le Grand Prix du Japon a été annulé puis reprogrammé après le tremblement de terre et le tsunami qui ont touché, au mois de mars, la région et surtout la centrale de Fukushima. Depuis la situation nucléaire s'est améliorée, les organisateurs ont annoncé que le circuit du Twin Ring, inauguré en 1998, n'avait été que très partiellement touché, mais le paddock n'est pas, pour autant, très rassuré.
Il y a quelques jours, Carmelo Ezpeleta, le grand argentier de la Moto GP a proposé de replacer dans le calendrier le Grand Prix nippon. La date du 2 octobre prochain a été arrêtée. Une annonce qui n'a pas convaincu le n°46, qui vit un début de saison compliquée (4e avec 31 points, soit 34 de moins que son ancien coéquipier chez Yamaha, le champion du monde en titre Jorge Lorenzo) : "Beaucoup de pilotes comme Lorenzo ont peur d’aller au Japon, a rajouté le pilote Ducati, samedi. C’est un problème difficile à régler. Mais Il n’y a rien d’officiel pour le moment. Je ne connais pas grand-chose au nucléaire. Je pense qu'il faudrait sonder le paddock. Ils sont nombreux à avoir peur de subir des radiations".
"Si tout le monde est d’accord, nous devrons nous y rendre. Pour ma part, j’ai peur d’y aller et la situation nucléaire me rend nerveux. Nous devons mieux comprendre la situation avant de nous prononcer". En marge du Grand Prix de France, qui a lieu ce dimanche, Valentino Rossi a du mal à cacher ses angoisses actuelles : s'il avait le choix, le pilote italien, éviterait de se rendre à Motegi, situé à 120 km au nord de Tokyo, cette saison.
Prévu initialement le 24 avril dernier, le Grand Prix du Japon a été annulé puis reprogrammé après le tremblement de terre et le tsunami qui ont touché, au mois de mars, la région et surtout la centrale de Fukushima. Depuis la situation nucléaire s'est améliorée, les organisateurs ont annoncé que le circuit du Twin Ring, inauguré en 1998, n'avait été que très partiellement touché, mais le paddock n'est pas, pour autant, très rassuré.
Il y a quelques jours, Carmelo Ezpeleta, le grand argentier de la Moto GP a proposé de replacer dans le calendrier le Grand Prix nippon. La date du 2 octobre prochain a été arrêtée. Une annonce qui n'a pas convaincu le n°46, qui vit un début de saison compliquée (4e avec 31 points, soit 34 de moins que son ancien coéquipier chez Yamaha, le champion du monde en titre Jorge Lorenzo) : "Beaucoup de pilotes comme Lorenzo ont peur d’aller au Japon, a rajouté le pilote Ducati, samedi. C’est un problème difficile à régler. Mais Il n’y a rien d’officiel pour le moment. Je ne connais pas grand-chose au nucléaire. Je pense qu'il faudrait sonder le paddock. Ils sont nombreux à avoir peur de subir des radiations".
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